Appuyer les économies Africaines à mettre en place les alternatives au tout électrique coûteux, ruineux en subventions.

Pour alimenter les villages en énergie on a pas tout essayé ?

L'ONU a défini quatre priorités pour un avenir énergétique durable :

- Réduire de moitié le nombre de personnes sans accès à l'électricité d'ici 2025

- Passer rapidement à des sources d'énergie propres ;

- Parvenir à l'accès universel à l'énergie d'ici 2030 ;

- Veiller à ce que personne ne soit laissé de côté.

 

- Objectif 7 des Obligations de Développement Durable: Garantir l’accès de tous à des services énergétiques fiables, durables et modernes, à un coût abordable

 

carte des pays d'Afrique

L’ONU parle d’accès à l’énergie et les Etats ou l’agence internationale de l’énergie (AIE) parle  d’accès à l’électricité en milieu rural. Rappelons que l’électricité n’est pas une énergie naturelle, qu’elle se fabrique avec beaucoup de pertes thermiques, doublé d’un coût d’infrastructure exorbitant. Il ne faut donc pas être un grand savant pour comprendre qu’électrifier les villages pour permettre d’avoir suffisamment d’électricité pour créer des activités génératrices de revenus est impossible, si on veut rester dans un tarif abordable.

Avant de se prononcer sur énergie ou électricité, ces organismes ont il fait un inventaire des besoins énergétiques en milieu rural?

De qu’elle énergie ont besoin les paysans pour se développer ? Car finalement c’est la bonne question à se poser.

Il est possible de pomper l’eau du puits avec la chaleur, cela un peu plus onéreux qu’avec l’électricité, mais si la chaleur est gratuite ou est le problème ? Par la même occasion le dessalement en Afrique notamment au Sénégal sera moins onéreux en chaleur qu’avec le photovoltaïque.

Conserver les productions au frais, c’est encore avec la chaleur que l’on peut réaliser des chambres froides économiques et écologiques.

Transformer les récoltes pour alimenter les villes en nourritures, c’est toujours avec la chaleur que l’on peut de la meilleure façon transformer les récoltes.

Donc à la louche la demande d’énergie thermique en milieu rural est de plus 70% et d’électricité de moins de 30%.

Pourquoi vouloir produire 100% d’électricité alors que l’objectif est inatteignable ?

Pourquoi ne pas inventer un équipement renouvelable qui produit plus 70% de chaleur et 30% d’électricité ?

Pourquoi ne nous servons pas de ce même équipement adapté pour produire un combustible renouvelable (l’ammoniac vert) pour le transport et l’électrification rurale qui fonctionneraient avec des groupes électrogènes sans polluer ?

Puisque la grosse partie de la production d’énergie pour les activités génératrices de revenus est produite par la chaleur, produire l’électricité de façon délocalisée ne coûterait pas très chère.

Changeons les voies et moyens pour apporter l’énergie en milieu rural, réfléchissons à des moyens moins anti constitutionnels d’y arriver.

Les acteurs des secteurs agricoles et forestiers sont directement exposés aux aléas climatiques : baisse de rendements, augmentation des risques climatiques et de la fréquence des feux de forêts, salinisation des sols, fragilité économique. En effet, les productions agricoles et forestières font face à de nombreux défis qui vont persister et s’accentuer.

En milieu rural ce n’est pas l’électricité qui réglera les contraintes, qui apportera les leviers et facteurs de succès de l’adaptation des secteurs et filières agricoles, pêche, tourisme durable … mais la chaleur renouvelable..

Optim Energie peut proposer des offres de services adaptées aux besoins de la population rurale et des territoires que nous rendrons durables.